danse
For Four Walls, Decay, Static shot
Petter Jacobsson & Thomas Caley | Tatiana Julien | Maud Le Pladec | CCN – Ballet de Lorraine
JE 04 MAI 20:00
infos / tarifs
Tarif A
placement numéroté
2h15 avec entractes
Covoiturage
programme
crédits
For Four Walls, chorégraphie Petter Jacobsson et Thomas Caley
Decay, conception, chorégraphie Tatiana Julien
Static shot, chorégraphie Maud Le Pladec
avec l’ensemble des danseurs du CCN – Ballet de Lorraine
For Four Walls : musique John Cage, pianiste Vanessa Wagner, scénographie Petter Jacobsson et Thomas Caley lumières Eric Wurtz, costumes Petter Jacobsson, Thomas Caley, Martine Augsbourger et Annabelle Saintier
production CCN – Ballet de Lorraine, coproduction Chaillot – Théâtre national de la Danse.
Decay : création lumière Kevin Briard, assistante chorégraphique Clémence Galliard, costumes Catherine Garnier et l’Atelier costumes du CCN – Ballet de Lorraine
production CCN – Ballet de Lorraine.
Static shot : conseil à la diffusion sonore Vincent Le Meur, lumière Eric Soyer, création costumes Christelle Kocher – KOCHÉ, assistée de Carles Urraca Serra – KOCHÉ, assistante costumes Laure Mahéo, assistant dramaturgie Baudouin Woehl, assistant à la chorégraphie Régis Badel, avec la participation de l’École de Broderie d’Art du lycée Paul-Lapie de Lunéville
production CCN – Ballet de Lorraine, coproduction CCN d’Orléans.
L’audace chorégraphique caractérise le virtuose Centre Chorégraphique National-Ballet de Lorraine. Le temps d’une soirée, les vingt-cinq danseurs célèbrent aussi bien la modernité inextinguible de Merce Cunningham que la créativité impétueuse de deux chorégraphes très actuelles. Un hymne à la liberté vitale !
Face à la course effrénée d’une société, il existe plusieurs options : décélérer, en jouer ou prendre soin des héritages. Pour rendre hommage à une icône de la danse post-moderne, le CCN-Ballet réinterprète Four Walls, une performance perdue de Merce Cunningham donnée qu’une seule fois, en 1944. Regardant du côté du cinéma, Maud Le Pladec envoie un condensé d’énergies décoiffantes. Enfin, avec Decay, Tatiana Julien offre une ode au ralentissement.
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